La nuit était tombée.
Le ciel donnait sa couleur à l’océan, la voie lactée dansait sur les vagues et venait illuminer la plage.
Je suis resté assis ici jusqu’au petit matin.
Les nuages avaient conquis le ciel. Comme un miroir posé,
l’océan avait gardé en mémoire les cris des enfants, les paroles des humains, la chaleur des amants. Porte ouverte sur un ailleurs,
les souvenirs resurgissaient des profondeurs.
Face à la ligne d’horizon où se pose les âmes, je voulais relire l’album des jours fériés, celui des jours heureux.
Sur le sable, le présent et le passé se sont entrechoqués et les images se sont superposées.
Les yeux bandés par mes rêves, j’ai observé la vie.
Je suis resté assis ici jusqu’au petit matin.
Les nuages avaient conquis le ciel. Comme un miroir posé,
l’océan avait gardé en mémoire les cris des enfants, les paroles des humains, la chaleur des amants. Porte ouverte sur un ailleurs,
les souvenirs resurgissaient des profondeurs.
Face à la ligne d’horizon où se pose les âmes, je voulais relire l’album des jours fériés, celui des jours heureux.
Sur le sable, le présent et le passé se sont entrechoqués et les images se sont superposées.
Les yeux bandés par mes rêves, j’ai observé la vie.
